« Les Engagés, seuls, n’arriveront pas à faire passer leurs idées. Il faudra des coalitions. On verra sous quelle forme mais pour l’heure il n’y a pas de négociations. »
Encore proche des entrepreneurs, notre vice-Président monte au front : « Aujourd’hui, les bouchers, les boulangers et tous les commerces de proximité sont les dindons de la farce. Ils ne sont pas pris en compte et subissent la triple peine. J’ai évidemment encore beaucoup de contacts dans le milieu entrepreneurial et il y a une vraie panique. Le monde politique ne semble pas se rendre compte du désastre économique dans ce tissu de gens qui se sont battus toute leur vie. »
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